Un transfert se construit à partir d’une demande : Le champ d’une écoute s’ouvre

Le transfert, comme lien de confiance, est inévitable, des liens ce sont établis parfois avec une meurtrier jalousie mélangée à une méfiance à quelqu’une d’autre opinion et/ou quelqu’un d’autre du Service ; parfois cette confiance est comparable à une adoption ou encore à une relation pédagogique ; certains demandeurs appellent les bénévoles de père, cousin, grand-père, frère…

            Au recevoir tout seul l@ Demandeur/euse ou encore une famille parfois avec quelqu’un que vient pour l’aider comme interprète ; nous écoutons leur histoire, nous cherchons des détails sans faire pression, sans ‘faire le gendarme’ ; nous écoutons sans juger en essayant d’aider.              Étant donné l’éclectisme d’expériences chez les bénévoles – retraités, femmes au foyer, étudiant, rmiste, professionnels libéraux - nous faisons une écoute même sans un calendrier pour des dynamiques de groupe et formation permanente.

            L’aider et trouver des solutions concrètes à des problèmes concrets et parfois urgents – un couple et son bébé qui a débarqué à Marseille et que se trouvent dans la rue, sans papiers et sans parler français, p.ex.  – exige des bénévoles une art où nous essayons de trouver des réponses au cas soit dans notre recours ou en articulation avec d’autres structures plus amples et/ou plus spécifique – Médecins du Monde, Samu-social, DASS, …

            Dès que nous trouvons des incohérences dans leurs discours nous utilisons des techniques selon la situation : 

            - soit en parlant plus forte, soit en demandant de redire en essayant de surmonter des interférences et barrières linguistiques et culturelles fréquents dans la communication humaine.

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